Leur prochain album sort le 29 mars prochain et leur prochaine scène est aussi le 29 mars à la Boule Noire. C’est un double événement.

Après leurs 3 E.P. produits par Francis Caste, leur album Ain’t the One est promu par Replica Promotion pour partir à l’assaut des salles de concerts.

Bien qu’étant un groupe de scène qui affectionne particulièrement les concerts, CHARGE a toujours souhaité laisser une marque de son passage dans le paysage musical du rock français. Cet EP ne laissera personne indifférent par ses rythmes puissants et ravageurs.

C’est un métissage entre un rock puck, le hard rock et le Métal. Ces sonorités se rapprochant toujours plus des sonorités rock, hard mais aussi 70’s. Sur les 9 morceaux, on se laisse envoûter vers ses sonorités navigantes vers un son nouveau très hard, punk et métal à la fois et aussi bien 70’s.

C’est un groupe qui a des tripes.

On explore un champ rythmique très différent. C’est un mélange de puissances et des rythmiques très électro et très souterraines.

C’est un son très énergique et sans fioritures du quatuor parisien trouve son inspiration et ses origines dans différents groupes : aussi bien Muse que les Strokes, en passant par Metallica… bref du rock énervé.
RAVIN /VOCAL ET BASSE/SACHA/ Lead Guitar & Backing Vocals/LOCK/BATTERIES/LIONNEL/Lead Bass

INTERVIEW CHARGE

Comment s’est fait le groupe :

pour le batteur cela s’est fait par annonce

C’est un groupe écliptique. Il s’est composé au fil des années.

Ce que vous entendez par musique nouvelle : le rock n’est pas novateur. Nous avons une manière différente d’écrire les chansons. C’est aussi une approche mélodique et Sacha et des petites mélodies de guitare accrocheuse. C’est l’exploitation des deux basses.

Parlez moi de l’album, comment l’avez-vous composé ?

On improvise et on essaye plein de choses avec des rifts. C’est un processus collaboratif. Tout le monde prend part à la création. C’est tous ensemble.

Vos influences au fil des années, ont-elles évolués depuis ? Le point commun est Metallica. Sacha est plus blues et Ravi plus heavy métal, Lionnel est plus groove. On apporte tous des influences différentes.

Combien de temps vous avez fait l’album ? il nous fallu un certain temps. Cela a duré plus d’un an.

Qui a créé la jacket ?

La jacket a été créée par Lionel Infographiste. Le rouge marque l’élément classique du rock. L’idée de l’enfant qui se jette dans la foule. C’est un groupe instinctif. C’est une pochette qui dégage bien l’idée de « Charge ».

On ne voit pas votre Biographie : la musique est plus importante et d’une certaine manière de laisser la place à la musique.

Ni les textes, on ne développe pas de grandes choses, c’est très rythmique.

Sur le morceau 8 miles away, vous allez être surpris par la voix de Ravin qui vous embarque sur des sons très grooves et puissants. Un petit frisson vous saisit.

Vous chantez en anglais pourquoi ? A la majorité d’une certaine manière, on a décidé car en anglais c’est plus esthétique, l’esthétique de la langue.

Quelle est la direction de l’album ou de fil de conducteur ? les morceaux se sont faits au fil de l’eau. On a composé ces chansons en optique de basses.

Etes-vous des « bêtes de scène » ? La scène c’est la vie. On adore le studio et enregistré avec F Castes, a été un vrai bonheur.

Sur scène, on voulait un son organique et un son très live et très garage. Sur cette scène, on prend une autre dimension. On est un groupe de rock de rock énervé. On joue le côté physique.

Vous préparez quelque chose pour le 29 Mars. On n’a pas les moyens. C’est essentiellement la puissance du groupe. C’est la communion avec notre public.

Le rock pour vous s’est ? c’est quoi votre définition ? comment vous l’expliquez ?

J’aurai du mal à donner une définition de rock alternatif. C’est un hybride entre le rock punk, le hard rock et du rock métal. C’est un rock instinctif et brut de décoffrage.

Comment voyez-vous l’évolution de ce rock ? c’est toujours rock de métissage, de mélange et de Charges on est dans une optique un peu à l’instinct. Je ne peux pas dire comment va évoluer mais on exploite on continue à explorer ce champ de l’instinct. C’est le rock du moment pour accrocher à l’oreille.

Sur les 9 Morceaux, on écoute les 4 morceaux s’écoutent avec plaisir.

Le 8ième morceau fait penser à un film Mad max mais pour eux ils sont plus « star Ward ». le 9ième morceau est très instinctif sans revendication.

Les deux derniers morceaux sont de pépites. C’est un groupe qui a des tripes.

On explore un champ rythmique très différent. Cette chanson a été travaillé jusqu’au dernier moment.

C’est un mélange de puissances et des rythmiques très électro et très souterraine.

Le 29 MARS, la sortie de l’album et sur cette scène, double événement, avez-vous d’autres scènes prévues ? oui on est en négociations.

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