Horskh – “BODY” ! Sortie IMMINENTE :19 janvier !

HORSKH incarne un univers à la fois abrasif et percutant, fusionnant les influences du metal, du grunge et de l’électro avec une touche contemporaine voire futuriste. Que ce soit sur scène ou à travers leurs albums, HORSKH se définit par une énergie sauvage et méticuleuse, une combinaison de vibrations, de pulsations et de jeux de stroboscopes qui les a menés à travers l’Europe, partageant la scène avec des groupes tels que Perturbator, Health, Ministry, Igorrr et même au Zénith de Paris aux côtés de Carpenter Brut.

Après le succès remarquable de “Wire” en 2021, voici venir “BODY”, le troisième album d’HORSKH. Le trio promet de maintenir leur base électronique dévastatrice tout en explorant de nouveaux territoires sonores, parfois surprenants. “BODY” a été mixé et masterisé par Thibault Chaumont au Deviant Lab Studio (connu pour son travail avec Carpenter Brut, Igorrr, Mass Hysteria, entre autres).

Concernant “BODY”, Bastien Hennaut, chanteur et manipulateur de machines, partage : “Avec cet album, j’ai cherché à mêler l’esprit des groupes des années 90 qui ont marqué ma jeunesse à des éléments actuels et futuristes, imprégnés de puissance. Nirvana a indéniablement été une influence majeure pour moi, ayant véritablement changé ma vie et m’ayant incité à faire de la musique. Dans “BODY”, des liens avec le grunge se ressentent à travers certaines mélodies, riffs, sons et attitudes.”

Il continue en expliquant que l’autre pilier de l’identité sonore d’HORSKH réside dans sa force électro accrocheuse et puissante. Ils ont ainsi poussé ces éléments à l’extrême, collaborant avec Thibault Chaumont pour franchir un nouveau cap en termes de production. L’univers d’HORSKH conserve donc ses sonorités indus, électro et parfois métal.

Bastien évoque également son éclectisme musical nourrissant la musique d’HORSKH. Il trouve de l’inspiration dans une multitude de styles, alimentant incontestablement la créativité du groupe. Les thèmes de “BODY” gravitent autour de la relation entre l’humain et son environnement, qu’il s’agisse d’une perspective individuelle, collective ou même personnelle. Le corps (“BODY”) devient celui du monde, de chaque auditeur, du narrateur, du groupe HORSKH ou des autres. Les textes oscillent entre onirisme et frontalité, toujours teintés d’un aspect étrange et poétique, explorant des thèmes tels que l’identité, le corps, le rapport aux technologies, la distorsion et bien d’autres.

Quatre singles sont déjà disponibles : “Interface”, “Tension”, “Body Building” et “Turbine ON”.

“Interface” aborde notre rapport aux interfaces numériques, où le narrateur se place dans la peau d’une intelligence artificielle tentant de domestiquer l’humain à travers des notifications et des déculpabilisations. Le clip sombre et l’utilisation d’éléments 3D renforcent l’aspect futuriste.

“Tension” explore la recherche d’équilibre entre des forces et des états parfois opposés, offrant une version survoltée d’un Nirvana fusionné à l’industriel. Le morceau alterne entre des refrains violents et des couplets mélodiques, créant une atmosphère électronique et planante.

“Body Building” évoque la construction d’un corps qui expérimente, se dépassant mentalement et physiquement, défiant les normes sociales et familiales. Il souligne l’importance de l’image dans notre ère marquée par les réseaux sociaux, tout en explorant les transitions entre différents états.

“Turbine ON” se distingue par sa puissance, utilisant la turbine comme métaphore pour encourager à avancer malgré un contexte mondial semblant sombrer dans la destruction. Le message est celui de l’action et de la création pour mobiliser nos corps, esprits et âmes malgré la désillusion.

STYLE : Electro-industriel

DISCOGRAPHIE
   BODY (2024)
   Wire (2021)
   Gate (2017)
   Dawn – Extended Version (EP – 2015)
   Dawn (EP – 2014)

LINE-UP
   Bastien Hennaut (Chant, machines, guitare)
   Jordan Daverio (Machines, guitare, backing vocals live)
   Briou (Batterie)

   (p) & © Wire Control

© Artwork : Alex Hanriot Colin
© Photo promo : Thomas Fournier
© Vidéo : Brice Hincker