La France a découvert DIRTY HONEY en juin 2022 à l’occasion de leur passage au Hellfest. Quelques mois plus tard, le 7 février 2023 pour être précis, leur concert à Paris, à La Maroquinerie, affichait complet. A l’époque, Rock Ur Life écrivait : “Un véritable plébiscite ! Nul doute qu’on entendra parlerde Dirty Honey incessamment sous peu sur le territoire national”.
Et l’avenir ne va pas les démentir,puisque les californiens annoncent aujourd’hui leur grand retour en France !Rendez-vous le 15 mars 2024 à Paris, à La Machine du Moulin Rouge !
Préventes : mercredi 15 novembre à 11h00
Mise en vente générale : vendredi 17 novembre à 11h00
Nouvel album
“Can’t Find the Brakes”
Disponible sur toutes les plateformes“Pose les nouvelles bases de ce que doit être un grand album de rock aujourd’hui…” – MyRock
“Un groupe sûr de lui et arrogant comme pouvaient l’être Aerosmith ou The Black Crowes à leur époque…résolument moderne.. un putain d’album de rock’n’roll… “ – Rock Hard (Album du mois)
“Truffé de licks accrocheurs, de solos palpitants, ce disque fait voyager dans la chaleur du désert californien…”– Rolling Stone
“A mi-chemin entre Rival Sons et Greta Van Fleet, le groupe aligne les titres blues rock puissants et dégaine des riffs imparables. Mélodie, énergie, audace, tout y est” – Rock & Folk
“Un modèle du genre [qui] s’inscrit hors du temps en s’imposant comme le renouveau du Rock US…” – Rock N’Force
“Allient à la perfection un son vintage et rugueux à ces sonorités plus modernes…” – Sounding Shivers
Alors que le Dirty Honey ne comptait qu’un album et une poignée de singles autoproduits à son actif, ses prestations live au Hellfest, puis à Paris ont permis au groupe d’asseoir sa réputation dans l’hexagone. Une réputation qui s’est confirmée avec l’arrivée, la semaine dernière, de “Can’t Find the Brakes”, un nouvel qui tient toutes ses promesses.
Produit par Nick DiDia(Rage Against the Machine, Bruce Springsteen, Pearl Jam) et enregistré en avril dernier dans son studio de Byron Bay, en Australie, “Can’t Find the Brakes” laisse la part belle à la voix solide et passionnée de Marc LaBelle, mais pas que. A l’image de l’irresitible single “Won’t Take Me Alive“, soutenu par la basse palpitante de Justin Smolian, le groove aussi frais que méchant du (nouveau) batteur Jaydon Bean et les putains de riffs de John Notto, cette chanson audacieuse est gorgée de sexe et de guitare, avec l’épaisseur et le fun qui caractérisent et définissent le Rock à la Dirty Honey.
REGARDEZ LE CLIP
Mais si Dirty Honey aborde ce disque pied au planché, il n’en oublie pas de signer une superbe ballade :“Coming Home (Ballad of the Shire)“, véritable virage à 180 degrés par rapport au rock’n’roll énergique pour lequel le groupe est connu, qui met encore plus en valeur l’organe de Marc Labelle
Après avoir ouvert pour KISS et Guns N’Roses, Dirty Honey est actuellement en tournée, en tête d’affiche en Amérique du NordRetrouvez les sur la route, en images, via ce Tour Diary
Marc LaBelle, John Notto