Le Sziget, festival de folie sur 7 jours sur l’île de Budapest 2016

Hâte d’arriver dans une ville où la pinte ne coute qu’1,6, nous arrivons sur une île en plein centre de la capitale hongroise. Nous posons nos tentes dans notre camp français (l’Apéro camp). Un camp qui je dirai a ses privilèges, avec son point d’entrée accueillant et chaleureux, couvert et rempli de poufs, de fauteuils, d’un piano, d’une wifi et d’un point d’information à notre disposition à toute heure de la journée et de la nuit. Nous avions le droit à un bar avec le soir des boissons et nourriture à des prix attractifs, ainsi que le matin, des petits dejeuners typiquement français, avec croissants, crèpes… Un camp privatisé avec des douches suffisantes pour tous, pas de queue interminables, (10 minutes d’attente maximum pour se doucher à n’importe quelle heure de la journée alors que ce n’était apparemment pas le cas si vous n’étiez pas placé dans un camp particulier).

 

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Premier jour:

Premier concert: Nos tentes vites posées et le plan et planning dans nos mains, nous ne savions pas vers où nous diriger, que visiter, quel chemin emprunter, tant la variété de divertissements s’offraient à nous. Pas le temps de chômer, niveau artistes, nous avions tellement à voir! Les premiers sur notre liste: Die Antwoord! Rien à dire: un superbe show.

 

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Je ne vais pas vous faire une explication détaillée de tous les artistes qu’on a pu voir mais je suis là pour mettre en avant le côté rock/métal du festival. Malgré le fait que les grosses têtes furent David guetta, Rihanna, Sia…(je dis ça mais je suis quand même allée les voir), le festival a pu nous offrir, (même sur les Mainstages) une ambiance hard comme on les aime. Au programme: Muse, Bring Me The Horizon, Bullet For My Valentine (agréablement surprise), Parkway Drive (OMG, show de malade), Sum41 (mes amours)…

*je voudrais m’excuser pour ses parenthèses, veuillez ne pas y prendre compte, mais dans l’obligation je suis de vous donner mon avis très personnel 😉

 

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Je vous ai enoncé les groupes les plus connus, mais je voulais aussi aborder le côté patriote du fest, en nous faisant decouvrir des groupes de métal hongrois, tout aussi, voir plus déjantés que l’on aurait cru. Pogos et wall of death étaient évidemment au rendez vous!

 

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Tout ça pour dire qu’un métalleux au Sziget, ce n’est pas si rare ni si abérant que ça à l’air d’être. Surtout que nous gros consommeurs de bières, nous ne pouvions qu’être heureux de payer 2e une bonne pinte!

 

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Le prix du festival est de 260e environ. C’est une somme, certes. Et j’ai été très sceptique au début sur ce prix. Mais mon avis a complètement changé après avoir vécu ce que nous avions vécues durant cette semaine. Des rencontres formidables, venant de tous horizons, des multitudes d’activités, de magnifiques décors de jours comme de nuits, des sculptures, des animations (danse, théâtres, cirque..). Des rendez vous collectifs au centre du fest pour une géante bataille d’eau, une chorégraphie avec distributions de pom pom et confetis et des lancés de poudre colorées.

 

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Une semaine de liberté,  avec une plage, le soleil, de belles personnes, zéro prises de tête, des nuits blanches, des journées fortes en émotion, de la nourriture à se bourrer l’estomac, des feux d’artifices éclatant dans le ciel autant que dans nos yeux quand fut le moment pour nous de rentrer à la maison.” Jolina

 

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“Le Sziget, le plus grand festival d’Europe et ce n’est pas pour rien ! Sa diversité en fait un événement plus qu’attractif. Chaque jour fût une découverte, que ce soit les scènes, les expositions, en passant par les rues entières de magasins et même la plage, l’île est tellement riche d’éléments que je ne sais même pas si j’en ai fait le tour.

 

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La programmation était en adéquation avec nos envies, en effet, heure de pointe pour les têtes d’affiche, le soir ainsi que la nuit réservée aux musiques plus éléctroniques et bien sûr l’heure de l’apéro pour boire sa bière devant un concert de métal. Notre communauté n’étant pas la plus représenté au Sziget, nous pouvions parfaitement profiter de nos chers amis tels que Parway Drive, Bring me the horizon ou Sum 41, pour n’en cité que quelques-uns, mais cela n’en retirait pas l’énergie et l’implication de la foule, Circle Pit, Pogo ou autres commodités étaient aux rendez-vous.

 

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En conclusion, oui je voudrais y retourner, surtout si la programmation nous ramène encore plus de nos groupes favoris !” Melissa

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