“Violent”, “Bâtard”, “Abyssalement explosif”
C’est en ces termes que Black Bomb A nous avait décrit leur nouvel album sorti ce 12 octobre lorsque nous les avions interviewés au Hellfest après leur passage sur la Mainstage.
Et vous savez quoi ? Tout est dit, pas la peine d’écrire quoi que ce soit d’autre en fait. Allez l’acheter, voilà merci bonsoir.
…bon okay je développe, mais c’est bien parce que c’est vous. On a attendu cette merveille pendant trop longtemps (surtout depuis la sortie des clips Wake Up et Greed) pour pondre un article qui résume tout en une ligne.
C’est donc un 7e album studio que les patrons nous jettent à la gueule trois ans après Comfortable Hate et deux ans après l’album live 21 Years of Pure Madness. Des chansons démentiellement lourdes, le superbe trio guitare-basse-batterie qui balance la sauce de façon tout bonnement cataclysmique, des riffs à faire bander des eunuques, des voix monstrueuses à souhait entre le growl bien profond de notre barbu préféré et le scream strident de Poun, une pochette aussi simple que canon et on apprécie la présence du livret de paroles. Rien à redire, c’est une totale réussite de 11 titres superbement produite par Francis Caste (Hangman’s Chair) et Stéphane Buriez (Loudblast). Une violence sans pareille et 23 ans de joyeux bordel dégoulinent de cette galette monumentale sortie des abîmes, et je ne peux m’empêcher d’avoir hâte de revoir ce groupe en live (…ouais je les ai vus trois fois en quatre mois, et alors kesskya ?!)
Ouaip, ‘sont pas mauvais ces petits jeunes.