Un retour en force pour PERTURBATOR : nouveau single, tournée européenne, et double date au Bataclan !

Récemment signé chez Nuclear Blast, PERTURBATOR a dévoilé il y a quelques semaines le single « The Art Of War », marquant son grand retour depuis Lustful Sacraments (2021). Ce nouveau titre illustre une fois encore la démarche artistique sans compromis de James Kent et sa volonté affirmée de repousser les limites de son univers.

Depuis ses dĂ©buts, James “Perturbator” Kent s’est imposĂ© comme une figure majeure de la dark-synth, incarnant un son rĂ©tro-Ă©lectronique brut, viscĂ©ral, loin des clichĂ©s d’une synthwave trop sucrĂ©e. LĂ  oĂč d’autres se sont perdus dans la nostalgie, Kent a tout dynamitĂ©, laissant derriĂšre lui un paysage sonore radical et novateur.

À propos de ce morceau, il confie :
“‘The Art of War’ est le sixiùme morceau de l’album et celui qui sonne le plus EBM. Il traite de notre propension à transformer tout en spectacle et de la maniùre dont nous consommons la violence comme un divertissement.”

PERTURBATOR – “The Art Of War”
https://youtu.be/AC8LAVjo3wA
Écouter le single sur les plateformes

La trajectoire de PERTURBATOR commence en 2012, avec des sorties comme Night Driving Avenger, TERROR 404 ou encore I Am the Night, qui le propulsent rapidement Ă  la tĂȘte de la scĂšne rĂ©tro-Ă©lectronique. EncensĂ© par la critique, James Kent est alors comparĂ© Ă  des figures emblĂ©matiques comme John Carpenter, Tangerine Dream ou Goblin. Mais dĂ©jĂ , sa vision dĂ©passe largement l’hommage : il trace sa propre voie.

En 2014, Dangerous Days marque une étape décisive. Cet album dense et magnétique impose un univers plus sombre et structuré. Deux ans plus tard, The Uncanny Valley confirme son ascension, intégrant les classements Billboard tout en plongeant plus profondément dans des sonorités occultes et dérangeantes.

Puis vient New Model (2017), vĂ©ritable rupture stylistique. Exit la nostalgie nĂ©on et les clins d’Ɠil Ă  la pop culture. Kent puise dĂ©sormais son inspiration dans l’austĂ©ritĂ© mĂ©canique de Kraftwerk, l’agressivitĂ© de Nine Inch Nails et l’univers oppressant de Lorn. Le message est clair : il ne suivra aucune formule, sauf la sienne.

Avec Lustful Sacraments (2021), il pousse encore plus loin sa rĂ©flexion sur la chute de l’humanitĂ©. L’album mĂȘle les ombres sonores des annĂ©es 80 et 90 Ă  une modernitĂ© clinique, suffocante, qui impose le respect par sa cohĂ©rence et sa rigueur.

AprĂšs deux annĂ©es de tournĂ©es mondiales intenses, PERTURBATOR revient avec une nouvelle Ă©nergie, prĂȘt Ă  faire de 2025 une annĂ©e charniĂšre.

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