présente
Nouvel album concept !Disponible en deux versions mélodiquement liées : l’une métal, l’autre entièrement symphonique.
Sortie le 16 février 2024 sur Candlelight Records / Spinefarm / PIAS
« L’art fait appel à la métaphysique et aux archétypes de notre existence
– il nous permet de faire face aux expériences liées à une perte, à la mort, à l’amour –
il nous prépare à toutes ces choses d’une certaine manière.
C’est la valeur, la perspective, à partir de laquelle je souhaite créer.» – Ihsahn
Premier extrait« Pilgrimage To Oblivion »
Vidéo réalisée par Shaun Hodson à Loki Films
« Ce morceau est une introduction immédiate aux aspects musicaux et conceptuels de l’album. Les paroles sont directement liées à l’histoire et cette vidéo est la première d’une série qui va illustrer l’ensemble de l’histoire.» annonce le musicien norvégien
Version symphonique dispo, aujourd’hui, à partir de 18h00Ihsahn, artiste visionnaire s’il en est, ose, une fois de plus, pousser son metal progressif encore plus loin vers les limites de l’expression créative.Ce huitième album studio sera disponible en deux versions
mélodiquement liées
– l’une métal, l’autre symphonique – créant ainsi un chef-d’œuvre, aux fortes influencescinématographiques, simplement et définitivement intitulé :
« Ihsahn »
Alors que son parcours musical a souvent été révélateur du contrôle magistral du rythme et du mouvement qu’exerce Ihsahn sur ses créations, ce nouvel opus expose son travail d’auteur et de compositeur sous un jour plus concentré et plus sûr. Cette entreprise gargantuesque, qu‘Ihsahn considère comme l’un des projets les plus complexes qu’il ait jamais entrepris, est un labyrinthe qu’il a lui-même conçu et dont l’ampleur et l’ambition sont immédiatement apparentes. Entièrement auto-produite et enregistrées sur une période de trois ans, la version métal a été mixée par Jens Bogren, la version orchestrale par Joel Dollié et les deux étant masterisées par Tony Lindgren. Ihsahn admet volontiers que le processus l’a poussé dans ses derniers retranchements, alors que tout a commencé, simplement, derrière un piano.
Ihsahn explique : « En moyenne, je sors un album complet tous les deux ans et ce depuis que j’ai 16 ans. Pour mon huitième album solo, je me suis demandé comment je pouvais faire ce que je faisais de mieux, tout en plaçant la barre encore plus haut. Au cœur de mon travail, il y a le black metal, les guitares distordues à l’extrême et les cris, mais depuis les premiers enregistrements d’Emperor, on entend des parties de claviers influencées par les bandes originales classiques de Jerry Goldsmith, John Williams, Bernard Herrmann, John Carpenter, etc. J’ai donc abordé l’écriture avec l’intention de présenter le matériel dans sa pleine expression métallique, mais aussi d’arranger les parties orchestrales de manière à ce qu’elles fonctionnent de façon indépendante. D’une certaine façon, j’ai tenté d’écrire une bande sonore dans le cadre des structures de la production complète, ce qui m’a permis d’explorer différentes variations, parfois contrastées, d’une même musique. En fin de compte, j’ai écrit toute la musique comme une partition courte pour piano et je l’ai arrangée pour un ensemble typique et un orchestre, en veillant à ce que tout s’imbrique. »
C’est à partir de là qu’Ihsahn a réussi à construire les deux disques, un exploit herculéen pour ce musicien autodidacte, mais c’est peut-être, justement, cette absence de formation académique qui lui a permis de se débarrasser de certaines règles et de suivre simplement son instinct. Le temps accordé par la pandémie a créé le décalage naturel et nécessaire pour s’investir autant dans le projet. Comme il l’explique lui-même, cette pression qu’il s’est lui-même imposée est née du désir de maintenir l’intérêt de ses fans les plus fidèles, mais aussi le sien, ce qui n’est pas seulement la caractéristique principale de ce nouvel album, mais aussi celle qui s’applique à l’ensemble de sa riche carrière solo.
Et Ihsahn de poursuivre « Pour créer quelque chose de valable, on ne peut pas uniquement aller vers ce que le public attend, il faut savoir viser plus haut. Lorsqu’on a l’opportunité de faire un disque, il serait prétentieux de penser que ce sera le prochain Dark Side Of The Moon, OK Computer, ou Black Album, mais, d’une certaine manière, il serait aussi arrogant de ne pas essayer ! ?! Il est vrai que c’est le projet musical le plus difficile et le plus complexe que j’aie jamais réalisé, et, en fin de compte, d’un point de vue personnel, c’est aussi le plus gratifiant. J’ai vraiment dû me surpasser et j’ai beaucoup appris au cours de ce processus » .
Dès « Cervus Venator », le grandiose morceau d’ouverture – et ce quelle que soit la face que vous choisirez d’écouter en premier – les qualités épiques, sonores et les textures richement ciselées par Ihsahn sont immédiatement apparentes. C’est un chef-d’œuvre à tout point de vue, et l’expression définitive des capacités illimitées d’un homme en tant qu’artiste. C’est un voyage qu’il est impatient de faire vivre à ses fans dévoués.
Sur cet album, Ihsahn est accompagné de Tobias Ørnes Andersen et Tobias Solbakk à la batterie et aux percussions. Son fils, Angell Solberg Tveitan, ajoute des percussions alors que les violons sont signés Chris Baum. L’illustration de l’album est signée Ritxi Ostariz et toutes les photographies promotionnelles ont été réalisées par Andy Ford.
Non content de prendre forme sous deux versions, ce nouvel album est aussi synonyme d’une histoire, d’un concept, qui étaye une paire de récits wagnériens distincts mais entrelacés autour du traditionnel périple d’un héros. A ce stade Ihsahn est réticent à l’idée de déjà tout raconter, et il est confiant que le sens de ce voyage entre deux mondes émergera bientôt pour tous ceux prêts à faire preuve d’un engagement égal à la passion qu’il a eu à le créer.
Et l’artiste de conclure : « C’est un privilège de pouvoir faire de la musique et de voyager dans le monde entier pour la jouer. Et lorsque je dis que c’est subjectivement ma plus grande réussite musicale à ce jour, cela n’a rien à voir avec l’ego ou le prestige, mais plutôt avec la gratitude pour cette expérience… ».