DEAD POET SOCIETY
“FISSION”
2ème album !
Sortie le 26 janvier 2024
Regardez le clip de
“I hope You Hate Me”
Au son d’un palpitant mélange entre new-wave subtile des 80’s et fureur du rock alternatif actuel,
cette vidéo met en scène le danseur, star des réseaux sociaux, This Robot Cannot Human,
dont les mouvements soigneusement chorégraphiés reflètent parfaitement la tension
qui règne tout au long de cette chanson dotée d’une irrésistible montée en puissance.
Après avoir créé la sensation en sortant, en mars 2021, “-!-“ (prononcez ‘The exclamation album’)n, Dead Poet Society remettra le couvert début 2024 avant un œuvre encore plus avant-gardiste. Ayant passé une décennie à définir, redéfinir et perfectionner son art, le quatuor californien apparaît désormais comme l’un des groupes les plus prometteurs de la scène rock internationale
Avec ses 13 titres, “Fission” s’impose comme une sorte de révélation. Les changements personnels et différentes turbulences n’ont pas entamé la créativité de son leader Jack Underkoffler (guitare/chant), qui jette “un regard à la fois microscopique et large sur les événements qui ont changé ce que nous sommes” et affirme “vouloir laisser la vérité…” aux auditeurs. Et d’expliquer plus en détail ce concept : “Ce n’est pas aussi simple que de dire que nous voulons que notre musique laisse les gens dans un état d’esprit positif. Nous voulons que la musique parle de l’endroit où l’on se trouve. Nous voulons que les gens aient le sentiment que ce qu’ils vivent est valable, quel que soit l’endroit où ils se trouvent dans leur vie”.En même temps que “I hope You Hate Me”, Dead Poet Society a sorti un autre titre : “How Could I Love You?”
Ces deux chansons traitent des retombées parfois douces-amères, et plus souvent tout simplement amères, d’une relation tumultueuse. La seconde est un voyage atroce mais enivrant, soutenu par des guitares brûlantes, tandis que la première aborde les conséquences d’une relation.
C’est clair, les braises de ruptures relationnelles sont encore chaudes, et viennent s’ajouter aux examens de la dépendance sous toutes ses formes, du questionnement sur les responsabilités (et des défis) qu’entraînent le passage de l’adolescence à l’âge adulte, ainsi que les luttes face à l’évolution, la perte et la recherche continuelle de soi. “À bien des égards, cet album a pour but de déballer les douleurs émotionnelles qui accompagnent la vie d’adulte”, explique Underkofler. “Ces dernières années m’ont laissé dans un état constant de croissance à travers des événements de ma vie sur lesquels j’avais peu de contrôle, ou qui ne se sont pas déroulés comme je l’aurais voulu. Il y a un “avant” et un “après”, et il n’y a pas de retour en arrière possible. La vie a tendance à vous forcer la main et il est inutile de lutter contre elle. Vous devez accepter que les choses qui vous arrivent vous changent, et les laisser vous construire dans la phase suivante de qui vous êtes. Je me bats constamment pour ne pas faire le deuil de ce que j’étais, parce que les choses que vous traversez vous définissent en tant que personne et font de vous une personne qui vaut la peine d’être vécue. Mais cela peut être difficile à gérer. Il y a du positif dans tout cela, mais c’est aussi le fruit de beaucoup de souffrances.”
Si les paroles restent tout à fait compréhensibles, la musique est quant à elle un mélange assez unique d’hymnes alternatifs, de hard rock sombre voire d’indie rock limite progressif. “Fission” est donc vraiment différent de tout ce que l’on a pu entendre ces derniers temps. C’était déjà ce que l’on avait pu ressentir le mois dernier, lorsque Dead Poet Society avait mis en ligne “côte à côte” deux premiers extraits :
“Running in Circles” & “Hurt” Regardez la (les) video(s)
Dead Poet Society a accumulé plus de 72 millions de streams dans le monde, dont près de 32 millions rien qu’aux États-Unis. Le groupe a également réalisé deux singles classés dans le Top 15 des radios rock US et a passé beaucoup de temps possible sur les routes, en tournée avec Badflower, Biffy Clyro, Highly Suspect et BRKN Love. Il ne faudra donc pas rater leur prochain passage dans nos contrées, le 24 mars prochain.
Jack Collins — Guitare
Will Goodroad — Batterie
Dylan Brenner — Basse
Après un concert archi complet à la Boule Noire en juin 2022
et la 1ère partie de Badflower au Petit Bain en décembre 2022
Dead Poet Society sera de retour en tête d’affiche à Paris en mars 2024 !!
